Schwul y en a trop! Mais je vais en citer quelques uns en vrac:
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Un singe en hiver Un film avec Gabin et Belmondo. Adapté du roman éponyme de Blondin, ce film est tout simplement fantastique. Il est parfois drôle mais surtout très touchant, et c'est pour moi un véritable hymne à la liberté, mais la liberté mentale, ou autrement dit comment voyager et revivre les meilleurs moments de sa vie juste avec de l'alcool et en passant outre les médisences de ses concitoyens...
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Persepolis Film de Marjane Sartrapi sorti en salle fin Juin,adapté de sa BD, Persepolis raconte du point de vue de l'auteur la chute du shah d'Iran, la guerre contre l'Irak et la révolution islamique. Quelques moments drôles constellent là aussi le film, mais certaines scénes sont vraiment poignantes. D'autant plus que ce n'est pas une fiction, c'est la réalité.
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Divided States of America C'est tout simplement un film documentaire sur la tournée de mon groupe préféré Laibach aux USA juste après la réelection de Bush, réalisé par Sašo Podgoršek. Ce film peut détenir un interet pour qui ne s'interesse pas à Laibach puisqu'il parle évidemment des Etats Unis. Viennent s'ajouter nombre de témoignages de la part de fans sur le groupe et sur l'état de ce pays.
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21 grammes Film réalisé par Alejandro Gonzalez Inarritu si mes souvenirs sont bons, 21 grammes est un film recoupant 3 histoires de gens de la vie de tous les jours. Le film n'est pas une réfléxion sur quoique ce soit, c'est juste un film qui montre le destin de trois personnes au travers de situations parfois troublantes. Très beau.
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Le tombeau des lucioles de Isao Takahata. Un merveilleux animé japonais, mais que vous ayez un coeur tendre ou non préparez les mouchoirs... et surtout préparez vous à supporter cette désagréable impression d'après film.
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American History X de Tony Kaye. Violent, choc. La spirale de la haine...
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Requiem for a dream de Darren Aronofsky. Les méfaits de la drogue sont montrés ici, et le choc est plutôt efficace.
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Le tambour de Völker Schlöndorff adapté du livre de Gunter Grass. Film allemand palme d'or au festival de Cannes 1979, le Tambour est l'histoire du petit Oskar Matzerath, mis au monde par une "trinité" quelques années avant la guerre et qui refuse envers et contre tout de grandir le jour de ses trois ans. Le film suit donc le parcours de cet enfant puis de cet homme resté enfant, de sa ville natale Danzig/Gdansk jusqu'à la tourmente de la 2 éme guerre mondiale, jusqu'à Paris. Les décors sont somptueux, le film posséde des accents dramatiques mais la première demi heure est plutôt loufoque voire rigolote. A voir.
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Comment j'ai fêté la fin du monde de Catalin Mitulescu. Ceci est un film roumain injustement peu distribué. On voit au travers d'une jeune fille et de son petit frère, le quotidien d'une famille roumaine, leurs rêves, espérances sous la dernière année de régne de Ceaucescu, dont on sent la présence durant tout le film même si on ne le voit pas vraiment. C'est rafraichissant sans être niais, et c'est même drôle. Mention spéciale à la VO.
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La ligne verte de Frank Darabont inspiré du livre de Stephen King. J'avoue sans honte que j'ai pleuré à la fin. Une interessante réfléxion sur la peine de mort, au même titre que
Tu ne tueras point de Krzysztof Kieslowski (là aussi j'ai pleuré).
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Les Evadés, de Frank Darabont. Saluons cette magnifique adapatation d'une nouvelle de Stephen King. Une histoire dramatique, émouvante. Et belle.
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Nightmare before Christmas d'Henri Sellick, sous l'égide de Tim Burton. Ce film figure dans mes préférés car pour moi c'est toute une partie de mon enfance...
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Le retour de Andreï Zviaguintsev, film russe. Esthétiquement très beau, interessante reflexion sur le théme: peut on rattraper le temps perdu.
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Fight Club de David Fincher. Une histoire absolument dingue, je ne saurai expliquer pourquoi j'adore ce film. Chaos, Confusion, Savon.
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La voie lactée de Luis Buñuel. Loufoque comme tous les films du maitre Buñuel, mais une réfléxion interessante à propos de la religion. Notons également la beauté des décors.
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Lost Highway de David Lynch. Complétement barge, on le regarde comme il vient. Dément. Mention spéciale à la BO (
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Le fantôme de la liberté de Luis Buñuel. Comme tous les films du maître c'est caustique, c'est drôle, l'histoire est complétement déphasée et j'en redemande. (la scéne de SM avec les moines...
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Pulp fiction de Quentin Tarantino. J'aime l'ambiance de ce film, il est certes un petit peu décousu et pourtant... Pour moi sans aucun doute c'est culte.
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Immortel ad vitam d'Enki Bilal. Même si je préfére la BD du même auteur (
la trilogie Nikopol) j'aime ce film, je suis assez sensible à l'univers visuel d'Enki Bilal. (cf mon avatar).
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Les Star Wars 4,5,6 partie intégrante de mon enfance ces films de George Lucas.
Je suis consciente que j'en ai oublié plein mais je ferai une autre liste quand j'aurai plus de temps.